زبان آموزان محترم ... لطفا قبل از گوش کردن به قسمت پنجم رادیو سؤالات را با دقت بخوانید و در هنگام گوش کردن به دنبال شنیدن عبارات و کلمات مربوط به پاسخ های صحیح باشید...
متن رادیو به همراه پاسخ های صحیح در کانال رسمی دپارتمان تخصصی زبان فرانسه مؤسسه کوثر قرار خواهند گرفت.
موفق باشید
@kowsar_fr
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Les questions à repérer et à répondre en écoutant la radio d'aujourd'hui ;
@kowsar_fr
1.La symphonie est une œuvre musicale qui fait participer :
a) un chœur et quelques instruments à cordes.
b) toutes les familles d’instruments.
c) des instruments à cordes et des cuivres essentiellement.
2.Qu’est-ce qu’un mouvement en musique classique ?
a) une partie d’une œuvre musicale.
b) la partie qui correspond à un instrument sur la partition
c) les nuances qui vont donner son caractère à une œuvre
3.De combien de mouvements une symphonie est-elle composée ?
a) 2
b) 3
c) 4
4. Un soliste est un interprète qui joue :
a) une œuvre destinée à un seul instrument.
b) une partie musicale seul, sans l’orchestre.
5. Est-ce qu’il y a un soliste dans une symphonie ?
a) Normalement non, mais il y a des exceptions.
b) Assez souvent, mais ce n’est pas obligatoire.
c) Ça dépend des siècles.
6. Pourquoi un compositeur fait intervenir un solo dans une symphonie ?
a) pour se différencier des autres compositeurs.
b) pour donner plus de caractère à l’œuvre.
c) pour rendre l’œuvre plus dramatique.
d) pour mettre un peu de sa personnalité dans l’œuvre.
7. Quand il y a un solo dans une symphonie, c’est :
a) un moment ponctuel.
b) toujours dans le dernier mouvement.
8. Dans un concerto au contraire, un instrument :
a) domine tous les autres.
b) dialogue avec les autres.
9. Dans la symphonie de Dvorak, quels instruments exécutent un solo ?
a) le basson
b) le haut-bois
c) le violon
d) le violoncelle
@kowsar_fr
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1.La symphonie est une œuvre musicale qui fait participer :
a) un chœur et quelques instruments à cordes.
b) toutes les familles d’instruments.
c) des instruments à cordes et des cuivres essentiellement.
2.Qu’est-ce qu’un mouvement en musique classique ?
a) une partie d’une œuvre musicale.
b) la partie qui correspond à un instrument sur la partition
c) les nuances qui vont donner son caractère à une œuvre
3.De combien de mouvements une symphonie est-elle composée ?
a) 2
b) 3
c) 4
4. Un soliste est un interprète qui joue :
a) une œuvre destinée à un seul instrument.
b) une partie musicale seul, sans l’orchestre.
5. Est-ce qu’il y a un soliste dans une symphonie ?
a) Normalement non, mais il y a des exceptions.
b) Assez souvent, mais ce n’est pas obligatoire.
c) Ça dépend des siècles.
6. Pourquoi un compositeur fait intervenir un solo dans une symphonie ?
a) pour se différencier des autres compositeurs.
b) pour donner plus de caractère à l’œuvre.
c) pour rendre l’œuvre plus dramatique.
d) pour mettre un peu de sa personnalité dans l’œuvre.
7. Quand il y a un solo dans une symphonie, c’est :
a) un moment ponctuel.
b) toujours dans le dernier mouvement.
8. Dans un concerto au contraire, un instrument :
a) domine tous les autres.
b) dialogue avec les autres.
9. Dans la symphonie de Dvorak, quels instruments exécutent un solo ?
a) le basson
b) le haut-bois
c) le violon
d) le violoncelle
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Qu’est-ce que c’est une symphonie ?
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[Musique symphonique par l’OSK]
Yvan Amar :
Qu’est-ce qu’on appelle une symphonie en fait ? Puisque vous êtes un orchestre symphonique : techniquement, qu’est-ce que c’est une symphonie ?
Rigobert Fikewey :
Une symphonie, c’est une œuvre musicale composée, qui fait participer d’abord plusieurs, toutes les familles des instruments et qui est composée en quatre mouvements classiques, de façon classique. C’est constitué en quatre mouvements.
Yvan Amar :
Et est-ce qu’il y a un soliste dans une symphonie ?
Rigobert Fikewey :
Il y a des.., bon en règle générale, la symphonie fait intervenir très peu de solistes. Mais il peut arriver qu’un compositeur, pour rechercher, pour marquer une certaine différence, ou bien sa personnalité, peut faire intervenir un solo…
Yvan Amar :
Mais c’est un moment, à un moment relativement court, ce n’est pas pendant dans toute l’œuvre qu’on a un instrument en solo. Et en fait c’est ça qui fait la différence entre ce qu’on appelle la symphonie, avec tout l’orchestre, et puis le concerto, où il y a un instrument qui va dialoguer avec tout l’orchestre.
J’ai bien compris ?
Rigobert Fikewey :
Exactement. On peut retrouver ça dans la symphonie de Dvorjak, le deuxième mouvement, où il y a le haut-bois* qui fait pratiquement, qui est en solo au début du mouvement et un peu plus loin, il y a le violon aussi, qui fait le solo. Ça arrive.
[Musique symphonique par l’OSK]
* Le hautbois est un instrument de musique à vent de la famille des bois, de perce conique et dont le son est créé par la vibration d'une anche double au passage du souffle.
@kowsar_fr
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[Musique symphonique par l’OSK]
Yvan Amar :
Qu’est-ce qu’on appelle une symphonie en fait ? Puisque vous êtes un orchestre symphonique : techniquement, qu’est-ce que c’est une symphonie ?
Rigobert Fikewey :
Une symphonie, c’est une œuvre musicale composée, qui fait participer d’abord plusieurs, toutes les familles des instruments et qui est composée en quatre mouvements classiques, de façon classique. C’est constitué en quatre mouvements.
Yvan Amar :
Et est-ce qu’il y a un soliste dans une symphonie ?
Rigobert Fikewey :
Il y a des.., bon en règle générale, la symphonie fait intervenir très peu de solistes. Mais il peut arriver qu’un compositeur, pour rechercher, pour marquer une certaine différence, ou bien sa personnalité, peut faire intervenir un solo…
Yvan Amar :
Mais c’est un moment, à un moment relativement court, ce n’est pas pendant dans toute l’œuvre qu’on a un instrument en solo. Et en fait c’est ça qui fait la différence entre ce qu’on appelle la symphonie, avec tout l’orchestre, et puis le concerto, où il y a un instrument qui va dialoguer avec tout l’orchestre.
J’ai bien compris ?
Rigobert Fikewey :
Exactement. On peut retrouver ça dans la symphonie de Dvorjak, le deuxième mouvement, où il y a le haut-bois* qui fait pratiquement, qui est en solo au début du mouvement et un peu plus loin, il y a le violon aussi, qui fait le solo. Ça arrive.
[Musique symphonique par l’OSK]
* Le hautbois est un instrument de musique à vent de la famille des bois, de perce conique et dont le son est créé par la vibration d'une anche double au passage du souffle.
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هيچكس نميتونه به عقب برگرده و يه شروع تازه را رقم بزنه.....
اما هركسي ميتونه از امروز شروع كنه و يك پايان جديد را رقم بزنه....
@kowsar_fr
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@kowsar_fr
Forwarded from موسسه زبان کوثر(le français) (Mohsen)
دپارتمان زبان فرانسه موسسه كوثر كارگاه مكالمه آزاد kowsar_fr@
موسسه زبان کوثر(le français):
زبان آموزان محترم:
با توجه به ظرفیت محدود کارگاه مکالمه آزاد (مدرس آقای دکتر خدیور) خواهشمند است نهایتاً تا دوشنبه مورخ 27 آذرماه ثبت نام فرمائید.
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زبان آموزان محترم ... قسمت ششم رادیو را چندین بار گوش دهید و سپس خلاصه ای از آنچه شنیده اید را در قالب چند پاراگراف بنویسید و آنچه را نوشته اید بعدا با متن رادیو مقایسه کنید ...متن راديو تا ساعاتي ديگر در كانال دپارتمان تخصصي زبان فرانسه كوثر...
موفق باشید
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Forwarded from Amirhossein Tchahian
On écoute la radio B1/B2
@kowsar_fr
Sans téléphone portable...
@kowsar_fr
François Bernard :sans téléphone portable. Le but de la manifestation est, selon son initiateur, de débattre de notre usage du téléphone. Les accros qui ont essayé de se passer… la journée sans leur téléphone en gardent un souvenir mitigé : fiers d’avoir résisté à leur addiction mais convaincus que la vie moderne peut difficilement se passer de cet outil de poche dont les fonctions se multiplient et dont la présence semble désormais garante de notre lien social.
Alors, peut-on vivre sans téléphone portable ? On vous en parle avec deux invités, que je vous présente tout de suite : Bernard Benhamou est ancien délégué interministériel aux usages de l’Internet, secrétaire général de l’Institut de la souveraineté numérique et enseignant sur les politiques numériques. Bonsoir à vous, Bernard Benhamou.
Bernard Benhamou : Bonsoir et merci.
François Bernard : Jean-Noël Lafargue enseigne lui à l’École supérieure d’art du Havre et à Paris 8, expert en histoire des technologies, également programmeur et blogueur, auteur d’une BD récente avec Marion Montaigne intitulée L’Intelligence artificielle. C’est aux Éditions Le Lombard. Bonsoir Jean-Noël Lafargue.
Jean-Noël Lafargue : Bonsoir.
François Bernard : Alors, messieurs, vous avez éteint vos portables ? Bernard Benhamou ?
Bernard Benhamou : Préventivement, oui.
François Bernard : Oui ? Vous pouvez vous en passer ? Plus de vingt minutes ?
Bernard Benhamou : Plus de vingt minutes, oui. Parfois même plus d’une journée, mais c’est vrai qu’au-delà ça devient un peu plus compliqué.
François Bernard : Qu’est-ce que ça représente pour vous, ce portable ?
Bernard Benhamou : Ben, disons que pour nous tous qui travaillons dans le domaine des technologies, c’est un ordinateur dans la poche. Avant que d’être un outil de communication, c’est vraiment un outil de réception d’informations. Mais c’est vrai aussi que ça devient de plus en plus notre cerveau déporté, comme on dit, notre exo-cerveau comme disent les auteurs de science-fiction. Et c’est vrai qu’on voit venir le moment où ça sera intimement mêlé à tous les actes de la vie et… bientôt le paiement, surtout bientôt tout ce qui sera santé, tout ce qui sera maîtrise de l’environnement, maîtrise de l’énergie. Et donc, c’est vrai que ce que nous connaissons aujourd’hui – le portable – n’est rien par rapport à ce que nous allons connaître très bientôt, c’est-à-dire dans les deux, trois, quatre prochaines années. Et donc la question que vous posez aujourd’hui, c’est-à-dire « est-ce qu’on peut s’en passer ? », aujourd’hui, je pense que oui ; demain, je pense que ce sera socialement vraiment discriminant.
François Bernard : Et personnellement, il est indispensable à votre vie, le vôtre ?
Bernard Benhamou : En termes… en termes de recherche d’informations et de consultation d’informations, c’est évident. Plusieurs heures par jour, évidemment.
François Bernard : Alors, Jean-Noël Lafargue, vous n’avez pas eu à éteindre votre portable puisqu’on m’a dit que vous n’en aviez pas. Qu’est-ce qui vous a convaincu alors de ne pas en avoir ?
Jean-Noël Lafargue : Alors, beaucoup de gens m’ont demandé : « pourquoi est-ce que tu as arrêté d’avoir un portable ? » Mais je n’ai jamais arrêté, je n’en ai jamais eu en fait. Quand les gens se sont mis au téléphone mobile, il y a vingt ans, moi je me mettais à Internet, surtout, qui me prenait beaucoup de temps, où ma vie sociale se faisait, se déroulait vraiment, qui me coûtait déjà assez cher comme ça. Je n’ai jamais vraiment eu envie d’avoir un téléphone. Et je voyais à côté les gens, progressivement, s’équiper, s’arracher les cheveux avec les services commerciaux des opérateurs qui ne sont pas toujours sympathiques. Et puis finalement être un petit peu esclaves de leur téléphone. Et je ne regrette pas de ne pas en avoir. Quand je dis « esclave », par exemple, je suis toujours étonné de la disponibilité des gens : ça sonne et – pouf – ils prennent leur téléphone et ils répondent tout de suite, comme si on les sonnait avec une sonnette.
@kowsar_fr
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François Bernard :sans téléphone portable. Le but de la manifestation est, selon son initiateur, de débattre de notre usage du téléphone. Les accros qui ont essayé de se passer… la journée sans leur téléphone en gardent un souvenir mitigé : fiers d’avoir résisté à leur addiction mais convaincus que la vie moderne peut difficilement se passer de cet outil de poche dont les fonctions se multiplient et dont la présence semble désormais garante de notre lien social.
Alors, peut-on vivre sans téléphone portable ? On vous en parle avec deux invités, que je vous présente tout de suite : Bernard Benhamou est ancien délégué interministériel aux usages de l’Internet, secrétaire général de l’Institut de la souveraineté numérique et enseignant sur les politiques numériques. Bonsoir à vous, Bernard Benhamou.
Bernard Benhamou : Bonsoir et merci.
François Bernard : Jean-Noël Lafargue enseigne lui à l’École supérieure d’art du Havre et à Paris 8, expert en histoire des technologies, également programmeur et blogueur, auteur d’une BD récente avec Marion Montaigne intitulée L’Intelligence artificielle. C’est aux Éditions Le Lombard. Bonsoir Jean-Noël Lafargue.
Jean-Noël Lafargue : Bonsoir.
François Bernard : Alors, messieurs, vous avez éteint vos portables ? Bernard Benhamou ?
Bernard Benhamou : Préventivement, oui.
François Bernard : Oui ? Vous pouvez vous en passer ? Plus de vingt minutes ?
Bernard Benhamou : Plus de vingt minutes, oui. Parfois même plus d’une journée, mais c’est vrai qu’au-delà ça devient un peu plus compliqué.
François Bernard : Qu’est-ce que ça représente pour vous, ce portable ?
Bernard Benhamou : Ben, disons que pour nous tous qui travaillons dans le domaine des technologies, c’est un ordinateur dans la poche. Avant que d’être un outil de communication, c’est vraiment un outil de réception d’informations. Mais c’est vrai aussi que ça devient de plus en plus notre cerveau déporté, comme on dit, notre exo-cerveau comme disent les auteurs de science-fiction. Et c’est vrai qu’on voit venir le moment où ça sera intimement mêlé à tous les actes de la vie et… bientôt le paiement, surtout bientôt tout ce qui sera santé, tout ce qui sera maîtrise de l’environnement, maîtrise de l’énergie. Et donc, c’est vrai que ce que nous connaissons aujourd’hui – le portable – n’est rien par rapport à ce que nous allons connaître très bientôt, c’est-à-dire dans les deux, trois, quatre prochaines années. Et donc la question que vous posez aujourd’hui, c’est-à-dire « est-ce qu’on peut s’en passer ? », aujourd’hui, je pense que oui ; demain, je pense que ce sera socialement vraiment discriminant.
François Bernard : Et personnellement, il est indispensable à votre vie, le vôtre ?
Bernard Benhamou : En termes… en termes de recherche d’informations et de consultation d’informations, c’est évident. Plusieurs heures par jour, évidemment.
François Bernard : Alors, Jean-Noël Lafargue, vous n’avez pas eu à éteindre votre portable puisqu’on m’a dit que vous n’en aviez pas. Qu’est-ce qui vous a convaincu alors de ne pas en avoir ?
Jean-Noël Lafargue : Alors, beaucoup de gens m’ont demandé : « pourquoi est-ce que tu as arrêté d’avoir un portable ? » Mais je n’ai jamais arrêté, je n’en ai jamais eu en fait. Quand les gens se sont mis au téléphone mobile, il y a vingt ans, moi je me mettais à Internet, surtout, qui me prenait beaucoup de temps, où ma vie sociale se faisait, se déroulait vraiment, qui me coûtait déjà assez cher comme ça. Je n’ai jamais vraiment eu envie d’avoir un téléphone. Et je voyais à côté les gens, progressivement, s’équiper, s’arracher les cheveux avec les services commerciaux des opérateurs qui ne sont pas toujours sympathiques. Et puis finalement être un petit peu esclaves de leur téléphone. Et je ne regrette pas de ne pas en avoir. Quand je dis « esclave », par exemple, je suis toujours étonné de la disponibilité des gens : ça sonne et – pouf – ils prennent leur téléphone et ils répondent tout de suite, comme si on les sonnait avec une sonnette.
@kowsar_fr
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François Bernard : Bon, ce n’est pas un handicap pour vous ?
Jean-Noël Lafargue : De ne pas avoir de téléphone ? Ça l’est, un tout petit peu. Il y a quelques cas, alors, dans lesquels j’observe le plus souvent… enfin, ce qui m’arrive le plus souvent, c’est d’arriver devant la porte, à Paris, d’amis et puis de ne pas avoir leur code [ndlr : pour entrer dans l’immeuble] C’est un classique mais plus personne n’y pense parce qu’on a juste à envoyer un sms ou je ne sais quoi pour avoir le code et voilà. Moi, ça m’arrive souvent d’être embêté. Et, depuis cette année, il n’y a plus de cabine téléphonique. En tout cas, je n’en ai pas vu à la gare Saint-Lazare, tout à l’heure, en passant, donc je crois qu’elles ont vraiment été retirées. Donc c’est vraiment un handicap. Et il y a quelques services commerciaux, par exemple la société qui héberge mes serveurs, [qui] refuse ma clientèle si je n’ai pas un numéro de portable à fournir. Ils ne veulent pas un numéro de fixe. Et donc j’ai dû donner celui d’un ami.
François Bernard : Bernard Benhamou, ne pas avoir un portable, pour vous, ce serait un handicap au quotidien.
Bernard Benhamou : Alors, j’allais dire, pour tous ceux qui travaillent dans les technologies, dont le métier sont les technologies, c’est plus qu’un handicap, c’est une impossibilité.
François Bernard : Eh bien Jean-Noël Lafargue, il y est aussi.
Bernard Benhamou : Oui, alors, c’est vrai... c’est vrai que c’est remarquable. Mais globalement, aujourd’hui, ça devient pratiquement le substitut de l’ordinateur pour pratiquement l’essentiel des fonctions : écrire des messages, consulter des informations, observer les réseaux sociaux… C’est surtout ça. Et j’allais dire, la fonction qu’on évoquait tout à l’heure, la fonction de communication téléphonique, celle qui nous a fait il y a vingt ans – ou vingt-cinq ans – nous intéresser aux mobiles, cette fonction-là, c’est devenue la septième fonction du téléphone, en temps passé sur l’appareil. Donc, c’est vrai qu’aujourd’hui les gens s’en servent pour beaucoup d’autres choses que d’appeler quelqu’un.
@kowsar_fr
François Bernard : Bon, ce n’est pas un handicap pour vous ?
Jean-Noël Lafargue : De ne pas avoir de téléphone ? Ça l’est, un tout petit peu. Il y a quelques cas, alors, dans lesquels j’observe le plus souvent… enfin, ce qui m’arrive le plus souvent, c’est d’arriver devant la porte, à Paris, d’amis et puis de ne pas avoir leur code [ndlr : pour entrer dans l’immeuble] C’est un classique mais plus personne n’y pense parce qu’on a juste à envoyer un sms ou je ne sais quoi pour avoir le code et voilà. Moi, ça m’arrive souvent d’être embêté. Et, depuis cette année, il n’y a plus de cabine téléphonique. En tout cas, je n’en ai pas vu à la gare Saint-Lazare, tout à l’heure, en passant, donc je crois qu’elles ont vraiment été retirées. Donc c’est vraiment un handicap. Et il y a quelques services commerciaux, par exemple la société qui héberge mes serveurs, [qui] refuse ma clientèle si je n’ai pas un numéro de portable à fournir. Ils ne veulent pas un numéro de fixe. Et donc j’ai dû donner celui d’un ami.
François Bernard : Bernard Benhamou, ne pas avoir un portable, pour vous, ce serait un handicap au quotidien.
Bernard Benhamou : Alors, j’allais dire, pour tous ceux qui travaillent dans les technologies, dont le métier sont les technologies, c’est plus qu’un handicap, c’est une impossibilité.
François Bernard : Eh bien Jean-Noël Lafargue, il y est aussi.
Bernard Benhamou : Oui, alors, c’est vrai... c’est vrai que c’est remarquable. Mais globalement, aujourd’hui, ça devient pratiquement le substitut de l’ordinateur pour pratiquement l’essentiel des fonctions : écrire des messages, consulter des informations, observer les réseaux sociaux… C’est surtout ça. Et j’allais dire, la fonction qu’on évoquait tout à l’heure, la fonction de communication téléphonique, celle qui nous a fait il y a vingt ans – ou vingt-cinq ans – nous intéresser aux mobiles, cette fonction-là, c’est devenue la septième fonction du téléphone, en temps passé sur l’appareil. Donc, c’est vrai qu’aujourd’hui les gens s’en servent pour beaucoup d’autres choses que d’appeler quelqu’un.
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Forwarded from موسسه زبان کوثر(le français) (Mohsen)
اولين و تنها مركز بركزاري آزمون بين المللي TEF در اصفهان 03132361274
موسسه كوثر آزمونهاي
Tef,tef aq,tef canada
خود را با توجه به جدول زمانبندی سال 2018 برگزار میکند.
برای اطلاع از تاریخ هایی که ظرفیت ثبت نام دارد با موسسه تماس حاصل فرمایید.
ثبت نام بصورت 《تک مهارتی》 در تمامی آزمونها Tef،tefaq،tef canada و از تمام شهرهای ایران امکان پذیر میباشد.
تلفن تماس : 32361274-03132361273
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دپارتمان زبان فرانسه موسسه كوثر كارگاه مكالمه آزاد kowsar_fr@
موسسه زبان کوثر(le français):
زبان آموزان محترم:
جلسه اول کارگاه مکالمه آزاد (مدرس آقای دکتر خدیور) امروز 28 آذرماه ساعت 19:30 می باشد.
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