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Forwarded from Dmitry Medvedev
Out of spite for the current administration, Donald Trump has threatened to lift sanctions against Russia. But will he really do it if elected?

No, of course not. For all his apparent bravado as an 'outsider', Trump is ultimately an establishment insider. Yes, he is an eccentric narcissist, but he is also a pragmatist. As a businessman, Trump understands that sanctions harm the dollar's dominance in the world. However, that's insufficient reason to stage a revolution in the United States and go against the anti-Russian line of the notorious Deep State, which is much stronger than any Trump.

But what about Harris? You shouldn't expect any surprises from her. She is inexperienced and, according to her enemies, just plain stupid. Beautiful meaningless speeches and boring 'correct' answers to questions will be prepared for her, which she will read off a teleprompter while laughing contagiously.

There were sanctions against the USSR throughout the 20th century, and they've returned on an unprecedented scale in the 21st. So, it's sanctions forever. Or rather, until the US collapses during an imminent new civil war. After all, Hollywood makes films about this for a reason😂.
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🇷🇺La réponse du Président russe Vladimir Poutine à une question des médias sur l'utilisation par Kiev de missiles occidentales à longue portée, le 12 septembre 2024:

💬En fait, seuls les militaires des pays de l'Otan peuvent effectuer le ciblage sur ces systèmes de missiles. Les militaires ukrainiens ne peuvent pas le faire. Par conséquent, il ne s'agit pas d'autoriser le régime ukrainien à frapper la Russie avec ces armes ou non. Il s'agit de décider si les pays de l'Otan sont directement impliqués dans le conflit militaire ou non. Si une telle décision est prise, cela ne signifiera rien de moins que la participation directe des pays de l'Otan - les États-Unis et les pays européens - à la guerre en Ukraine [...] La Fédération de Russie sera contrainte de prendre des décisions en fonction des menaces ainsi créées.
Pour le lobby financier, la construction européenne doit revenir aux banquiers
Le banquier italien Mario Draghi a remis, le 9 septembre, son rapport sur le « Futur de la compétitivité européenne ». Le document, en deux volumes de plus de 400 pages, plaide pour une construction européenne par les banquiers. Il constate le peu de possibilité d'investissement de l'UE (32 % du PIB) par rapport aux États-Unis (142 % du PIB) en raison de la persistance de système de retraite par répartition (sauf aux Pays-Bas, au Danemark et en Suède). Il préconise donc de développer des (…)
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2024/09/21 14:18:54
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